Entrée Désinvolte.

« St Jules, nous voilà. »

On aurait put croire telle une plénitude dans ses paroles, mais c'était tout le contraire. Frustré de devoir changer d'établissement scolaire à la prochaine rentrée : il ne lui restait que quelques jours pour pouvoir visiter. Lui, qui, sous la demande de son père, avait put être dans une école banale, publique, sans fils de riches à supporter, le voilà qu'il devait entrer dans une de celles qu'ils déteste. Avec ses mini dread'locks, il faisait mauvaise mine. L'établissement était présent juste devant lui, il n'avait pas encore franchit l'entrée, et étrangement, n'en avait pas réellement envie. Il avait promis à son père de la visiter, néanmoins, il n'avait pas forcément le choix pour ce qui est d'y entrer ou non. Il devait entrer dans une bonne université, avoir un bon bac, etc, et ce n'était possible que dans ce genre d'établissement. Bien évidemment, c'était plutôt pour suivre les idéaux de sa future femme. Aaron n'avait toujours pas vu sa future « famille ». D'un coté, ça le faisait rêver. Il n'avait jamais put vivre proches d'autre personnes éternellement. Il eut Candice, parfois son père, mais ça se limitait à quelques nom. Sa mère étant partie jeune, il a même parfois du mal à se remémorer son visage. Quitter son beau Quartier de New-York auquel il s'était habitué était quelque peu décevant, surtout pour celui où il était destiné. l'Upper East Side. Là où il verrait tous ceux de son espèce. On dira la source pure. Tous avec leur menthol à la main ou leur Marlboro Light, juste parce que « Light » ça fait cool, ça fait mince, et on omet le fait que c'est dégueulasse. En silence, l'adolescent se décala d'avantage de l'entrée, s'accroupissant contre le mur pour s'asseoir contre celui-ci, se recroquevillant légèrement. Mettant la main dans sa poche avec réflexe, il en sortit son paquet de cigarette aux plantes, directement sortit de sa Pharmacie habituelle. Il l'alluma, sans attendre, et laissa une odeur agréable l'entourer. Une odeur qui était, sans contexte, beaucoup plus agréable que le tabac. Beaucoup n'apprécient pas ce genre de cigarette, lui était totalement fanatique, pas vraiment accroc, c'était juste un plaisir. Par évidence, il portait les écouteurs de son MP4 aux oreilles. Savourant la dernière musique avec insistance, il était sur qu'à ses premiers pas, il serait forcément obliger de l'éteindre pour le barricader au fond de son sac. De plus, pour une fois, il s'était « bien habillé ». Un jean normal, ni trop serré, ni trop large, et sans trous, une veste grisâtre à son père ornait son buste et n'avait pas été longtemps rabattus dans son jean. L'adolescent se mordilla la lèvre inférieure, calmement, il avait l'impression de pénétrer dans l'un de ses pires cauchemar. La haute société, il se refusait d'y pénétrer. Et le voilà devant l'entrée de la porte, la porte des enfers ? Le sien, en tout cas. Une dernière latte, il écrasa la cigarette avec ses chaussures en cuir. Il n'avait jamais été aussi classe, pas même pour un mariage. C'était pour dire : il avait fait un effort. Un énorme effort. Un dernier soupir, et il se redressa, lâchement, il hésita à faire marche arrière. Mais c'était trop tard. Il fallait s'y résigner.

Étant donné que Cyrius, son père, avait appelé l'Académie, il ne pensait pas que ces derniers auraient fermé la porte. N'ayant jamais pénétré dans de tels établissements strict, il fut presque honteux d'avoir oser ouvrir la porte qui s'avéra close. Pff. Machinalement, il appui sur le sorte d'interrupteur. Une voie ne tarda pas à en sortir.

« Oui ? »
« Bonjour, Aaron Rose. Mon père vous a prévenus ce matin. »
« Très bien entrez, on vous amène quelqu'un pour la visite ? »
« Non merci, j'ai un bon sens de l'orientation. »

Ceux qui le connaissaient pourraient remarquer un horrible mensonge de sa part. Mais tout, tout sauf suivre un de ces professeur sortis de Yale ou autre université aussi sélect.

« Quelques élèves sont déjà présents, vous pourrez vous référez à eux. »
« Merci. »

Mot aussitôt dit, il put entendre un déclic qui semblait être le fin mot de la discutions. Soulagé d'être seul, il ouvrit la porte qui était dès à présent ouverte. Dire qu'à son ancien Lycée, ils devaient directement venir l'ouvrir. Ca changeait de milieu. Mais les paroles de son père raisonnaient encore dans sa tête : « Tu es mon fils, je t'ai autorisé à fréquenté les écoles de bas étage, mais à présent, c'est ta Terminale, alors ne me déçois pas ». Et blabla. Déjà qu'il allait totalement le désorienté avec son déménagement, si en plus il changeait d'école, il pouvait dire adieu en ses anciens « potes » (qui se préoccupaient plus de son argent de poche qu'autre chose). Le fait de s'entendre ou non avec sa future demi-soeur et son futur demi-frère ne faisait pas partie de ses préoccupation. Mais il imaginait très bien à quoi ça ressemblait. Sans doute comme à celles qu'il avait croisé avant de venir ici. Un soupir, l'adolescent marchait droit, jetant quelques coups d'oeils de par et d'autre des jardins et collines. Entrer dedans serait comme se condamner au suicide. Apparemment, il y fit face, et ouvrit les seconde portes. Un endroit extrêmement luxueux le pénétra. Tout était propre. Tout. Les casiers semblait luisant, et peut être même en argent, aucuns tags ne pouvaient se voir dessus : rien. Il était choqué, tellement qu'il ne bougeait plus de devant la porte. Cette dernière ne tarda pas une nouvelle fois à s'ouvrir, et il put se la prendre dessus sans avant-garde.

Génial. Super leur « Bienvenue ».

Tyler n'était pas du tout le genre de personne à écouter et à se tenir sagement dans son coin jusqu'à temps qu'on lui dise ce qu'il devait faire. Plutôt le style de personne à courir partout et a en faire juste à sa tête, il avait décidé de son propre gré de visiter sa prochaine et future école, St-Jude. Il n'avait aucune idée de l'établissement mais en avait toutefois une vague idée. Venant d'une de ses familles huppées, il avait été habitué depuis son tout jeune âge à tout ce luxe. On ne pouvait pas dire qu'il appréciait mais il savait qu'il était chanceux d'avoir tout ce qu'il avait. C'était une personne très terre à terre avec la vie et qui se rendait bien compte que le West Side ne comportait pas de " St-Jude " donc que les famille étaient plus pauvres. Ayant été plus grand, il aurait fait quelque chose mais hélas, garçon de 13 ans oblige à s'occuper de ses affaires. Se dirigeant sur son skate et son Ipod sur les oreilles vers son école, il se mit à penser à sa nouvelle famille. Un demi-père ne lui dérangeait pas et ni un demi-frère d'ailleur. Ce qui le préoccupait plus était l'humeur de Blair qui se dégradait de jour en jour. Il trouvait cela dommage mais si il avait le culot de lui en parler, elle le remetterait bien rapidement à sa place. Il se tenait donc à l'écart de ce sujet avec elle. Il n'avait aucune idée du physique de sa nouvelle famille mais il espèrait au moins que sa mère serait heureuse.

Il gravit les escaliers de marbres blanc de St-Jude. Il portait des Circas noirs au pied avec un sac de la même marques avec une courroie pour attacher son skate. Il avait une casquette Louis Vuitton qui allait très bien avec le reste de son style. Il portait aussi un jean un peu ajusté sur son beau petit cul ainsi qu'un polo Ralph Lauren, qui lui ne matchait tout simplement pas avec le reste de son habillement. C'était plutôt une cause féminine qui l'avait obligée à la mettre ... une mère fanatique du rapport, famille et société. Il pesa sur l'intercome de l'établissement et dès qu'il entendit le déclic signifiant que la porte était débarrée, il la poussa la porte. Se souciant peu des régles, il sauta sur son skate roula dans le corridoir pour faire une visite rapide des lieux. Les casiers en effet étaient d'une blancheur éblouissante, cela faisait quasiment mal aux yeux des les regarder. Il vit une silhouette qui marchait en ne sachant pas trop où aller. Il s'approcha par derrière en roulant. Des gars le regardaient en riant, le trouvant bien drôle ce petit nouveau. Freinant devant Aaron, il enleva ses écouteurs et lui sourit.

< Ta l'air nouveau toi. Moi aussi je le suis. Si tu veux, on peut visiter ensemble >

Tyler était plutôt du genre gentil mais emcombrant. Il allait souvent vers les autres et ceux-ci ne savaient pas toujours comment le faire dégager mais il était tellement sympathique, que finalement, ils le gardaient avec eux. Il n'était pas du tout gêné de parler à des parfaits inconnus.

Cric crac boum. L'adolescent qui l'avait bousculé lorsqu'il avait ouvert la porte n'avait pas réellement fait attention à lui. Sans doute trop narcissique et égocentrique, comme tous ces petits Bourges sur pâtes. Aaron n'était spécialement pas étonné. Il avait l'habitude. Avec ses dread lock's dégueulasses, il faisait mauvaise mine, entouré de tout ce luxe indéniable, ça manquait presque de snob. Fusillant du regard le dos de sa première rencontre ici, il ne tarda pas à se laisser désorienter du lieu. Il n'était pas forcément perdu, à coté de l'entrer, ce serait un véritable calvaire. Il avait juste des nausées (métaphore, bien sur). Écoeuré tellement le parfum des mecs sentaient à des kilomètres à la ronde, il se mit la main au visage, se couvrant légèrement le nez. Pitoyables. Il n'avait vraiment pas l'habitude d'une telle chose. Aaron soupira, calmement, puis se redressa, étant donné qu'il fut légèrement courbé suite à l'incident. En vitesse, il commença à vouloir hâter le pas pour vite terminer ce calvaire qu'il s'infligeait (ou que son père lui infligeait, plutôt). Mais BAM. Une douleur incontrôlable le pénétra à l'épaule, pour être plus précis, au niveau de l'omoplate. Il s'était pris la porte ou un coin de quelque chose en plein dessus. N'étant pas très musclé, il était plutôt du genre « peau sur les os », par conséquent, il ne résistait pas tellement aux blessures. Quand il était môme, il adorait ses « blessures de guères ». Maintenant c'était plus exacerbant qu'autre chose. Quelque peu maladroit, ça lui arrive plus souvent qu'aux autres, presque épris de malchance, on se demande où en est le Roi des Démons avec lui. Se mordillant légèrement la lèvre inférieure (pas trop non plus, c'était pas un Mannequin et il n'était pas non plus en big séance photo signé Rose). Et parce que c'était un homme, il surmonta sa douleur, aussi douloureuse soit-elle, il continua à marcher, son sac sur le dos. Ses mains pâles tremblaient. Il voulait les plonger dans ses poches pour y récupérer l'Ipod qui s'y cachait. Combat perturbant avec lui même, il se demandait bien comment il pourrait s'y résigner. Sans doute pour le coté « bonne première impression ». Un point sur lequel son père avait fortement insisté. Cyrius avait beau paraître « cool » il n'en était pas moins responsable et avait un minimum de réputation à tenir.

« Le Conseil des Élèves est réclamé en Salle de Réunion. »

Même la voie de l'interphone était toujours aussi répugnante. Aiguë. Les oreilles de Aaron grinçaient, il suffoquait dans ce monde qui n'était pas le sien. Généralement, il n'était pas du genre à faire des chichi pour un rien, à se plaindre pour un cheveux en trop ou en moins, mais là, c'était au-delà de ses désillusions. C'était un véritable Enfer auquel il s'apprêtait de vivre durant un an. Souvent, on réplique « Ca passe vite ». Cela dit, on ne le dit jamais au moment voulus, juste quand c'est fait. Et on en bave, on en bave quand on est pas l'idole et qu'on s'appelle pas Nate Archibald (sauf qu'à ce moment là, Aaron était un ignare qui ne connaissait pas même son nom, pas même son visage). Comme un touriste (car c'est un peu ce qu'il était) il soupira, et détourna les talons, regagnant la sortie, ce serait bien plus agréable pour la suite et il n'avait pas spécialement envie de supporter la voie de cette femme aiguë directement sortie de Série Télévisées. Doucement, une douce brise perturba ses pensées, le laissant, une seule seconde, s'imaginer être ailleurs. Malgré le bétons sur lequel il se dressait, il avait l'impression d'être dans de l'herbe. Il marchait marchait. Et le vent semblait l'envahir, de telle sorte qu'il ne faisait pas même attention aux autres. Aaron avait l'impression de ne plus être lui-même. Ne vous inquiétez pas, il n'est pas schizophrène. Manquerait plus que ça. Juste qu'il devrait réduire les substances illicites.

Soudain. Un bruit. Il le sortit de ce monde, tel le signe de la main disant Au Revoir à cette douce plénitude qu'il crut rencontrer. C'était comme des roulettes, qui roulaient, roulaient, et tournaient, tournaient. Sans cesse. Un courant d'air violent se propagea à la droit de Sir Rose. Il se tourna, immédiatement, et de ses yeux écarlate, il put voir se dessiner sous ses yeux un corps frêles d'adolescent qui ne devaient pas dépasser la quinzaine. Comme quoi, ils avaient même des surdoués à St Jude ? De plus, il n'était pas prêt de se douter que la personne qui se trouvait en face de lui, en ce moment même, était en réalité son futur demi-frère. Attendons de voir ce que le duo va former. Cependant, Tyler semblait plus adapté aux fréquentation de Aaron. Déjà le skate y jouait pour beaucoup, sans oublier sa dégaine. L'adolescent hésita quelque peu à l'interloquer, mais c'était peine perdue, parler aux gens qu'il ne connaissait pas ne faisait pas parti de ses principes et priorité. Puis soudain, alors qu'il s'apprêtait à le dévisager pour continuer son chemin, le must se produit.

« T'as l'air nouveau toi. Moi aussi je le suis. Si tu veux, on peut visiter ensemble. »

Que demander de plus ? Rien. Pour la première fois depuis qu'il eut franchis les murs de cet établissement, le jeune Rose lâcha un bref sourire, qui ne dura qu'un instant. Les traits de son visage se plissèrent, et on put déceler le vert de ses yeux derrière le rouge écarlate qui resplendissait. On dit que les jeunes riches d'aujourd'hui sont de gros consommateurs d'alcool et de drogue, apparemment, malgré lui, Aaron n'échappe pas à la généralité. Il se fit courtois (pas trop non plus).

« Ca se voit tant que ça ? » dit-il d'un air gêné suite à sa première question. « Yep, bonne idée » rajouta-t-il par la suite.

Mieux vaut être seul que mal accompagné ? Mais Tyler ne semblait pas faire partie de cette catégorie, et la réplique de Aaron est plutôt : « Plus on est de fou, plus on rit ». Bien qu'il ait l'air jeune, Rose était sur d'avoir plus de sujets de conversations avec lui plutôt qu'avec tous les autres garçons de St Jude qui les entouraient.

[ Oulalala :S Je suis pas certaine d'être capable de faire un post aussi long que le tient. Bref, je vais faire mon possible ]

" Le mec perdu " comme l'appellait maintenant Tyler, semblait bien vouloir de lui. Scrutant bien son visage, il ne se rappellait pas de l'avoir vu dans l'Upper. Il savait que la majorité des garçons se trouvant à St-Jude venait des familles les plus réputée d'Amérique et sa c***e lui avait obligé a apprendre tous les noms de celle-ci avec le métier du père et quasiment leur compte en banque donc on pouvait comprendre qu'en voyant Aaron il ne doutait pas du tout de qui il était. Malgré ses apparences, Tyler était un vrai sur pattes. Relativement bien bâtit pour un jeune de son âge, il avait l'air plus vieux. Peut-être était-ce dut aux nombreuses heures à faire du sport, à rouler en skate ou à courir partout comme un véritable singe ?! Tyler était du style beau bavard mais ce qu'il disait était souvent très interessant pas comme Nate Archibald qui ne parlait que de drogue et de Blair. Bon ok... pour plusieurs parler de Blair était leur sujet préféré mais pour Tyler c'était plutôt quelque chose de ennuyeux... parce qu'il était tout simplement son petit frère. Ce n'était pas du tout le genre de garçon avait lequel il se tenait, il aimait beaucoup mieux ceux de la West qui était bien plus vrai. Tyler avait souvent comparé Nate avec Ken, le mari de Barbie ^^ parce qu'il était parfait extérieurement mais intérieurement ... c'était tout autre chose. Un espèce de drogué de la vie. Tyler n'aimait pas cela et ni la cigarette non plus. Il trouvait très déplaisant d'en respirer.

< Tu dois être aussi nouveau dans le coin, en tout cas dans l'Upper parce que je ne t'ai jamais vu. Moi je vis ici depuis toujours ! Tu veux que je t'instruise sur ce qu'il faut et ne pas faire dans ce monde parce que je t'avertis, si tu fais une gaffe, tout le monde va apprendre ce que tu as fait de manière un peu déformée dans la rubrique de Gossip Girl surtout Kati Farkas et Isabel >

Dit-il tout d'un train sans respirer. Aaron n'allait manifestement rien comprendre de ce que Tyler venait de lui dire. Le jeune garçon se mit en marche et plutôt il embarqua sur sa planche. De cette manière il était aussi grand qu'Aaron. Il roulait lentement pour suivre le rythme de pas du jeune Rose. Ils formaient à vrai dire un drôle de duo. Un jeune à dread'lock et un autre en skate qui était mignon mais qui possédait encore sa baby-face. Il n'aimait pas tellement la Gossip Girl à part quand elle parlait de Blair. Il trouvait cela tout à fait comique mais il ne l'avait jamais vraiment dit sinon elle l'aurait étranglée sur place. Justement, il y avait une fête en l'honneur de Little Heart faites par sa grande soeur. Il était bien entendu obligé d'y aller mais en même temps cela le ferait connaître aux grands de St-Jude quoi qu'ils n'allaient pas nécessairement vouloir de lui. Une enseignantes passa près d'eux. Elle était grande, plus grande qu'Aaron avait ses talons hauts et possèdait une paire de seins manifestement refaites. Son visage était laid mais sa chevelure blonde platine. Il avait entendu parler de cette enseignante qui c'était tout fait refaire la poitrine mais qui possédait toujours un visage aussi horrible. Tyler la reconnu aussitôt et son visage devint tout rouge pour ne pas rire devant elle. L'enseignante le regarda de haut en bas et se mit à hurler en crachant partout.

< MONSIEUR ! DESCENDEZ DE CETTE PLANCHE SUR LE CHAMP OU J'APPELLE LE DIRECTEUR !!! IL EST INTERDIT DANS CET ÉTABLISSEMENT DE CIRCULER DE CETTE MANIÈRE ! >

Figé comme un statue sur place, il la regarda en s'essuyant le visage du revenvers de sa manche. Elle n'allait pas s'en tirer comme cela. Elle avait la bras croisé et tapait impatiament du pied sur le sol. On entendait le bruit de la semelle de sa chaussure frapper à intervalle réguliers. Tyler s'éclaircit la gorge et ouvrit la bouche pour répliquer. Il n'allait pas se laisser faire comme ça !

< La charte des droits de la personne m'assure que je doit pouvoir me déplacer en toute sécurité sans avoir peur et en ce moment j'ai très peur ! >

Dit-il en courant se cacher derrière Aaron. Il fit un visage qui faisait tellement pitié et des yeux si effrayé que l'enseignante partit sur le champ les larmes aux yeux. On lui avait clairement dit qu'elle était stupide et qu'elle ne répliquait jamais quand l'élève lui adressait la parole après s'être fait arrêté par elle dans les couloirs. Fier de son coup, Tyler rembarqua sur son skate.

(Excuse moi du retard, j'ai été pas mal occupé, je répond dans la journée si j'peux, en éditant mon post)