Wade Scott / The lover

I. Carte d'identité

1. Nom : Scott
2. Prénoms : Wade, Arthur, William
3. Age & Lieu de naissance : 17 ans, né à Paris
5. Lieu de résidence : Réside dans Upper East Side, quartier huppé de Manhattan
6. Groupe : Upper Guys

II. Description physique & psychologique

1. Histoire de votre vie : Rien ne portait à croire que l'homme d'affaires, papa, Scott allait un jour épouser l'avocate, maman, Claudie Lewis. Tout et à la fois rien ne les séparaient. De son nom Charles Scott, fils d'un riche propriétaire de la chaîne de télévision CNN, passait son temps dans les soirées mondaines dans le quartier de l'Upper East Side à New York, où il était né et où il résidait dans l'un des nombreux appartements très prisés. Il ne vivait que de luxe, d'avarice et de galas. Entraîné dès ses premiers pas aux grands événements par ses parents, le directeur et fondateur de CNN et de Ann Peterson, une médecin anglaise réputée. Très "enfant-gâté", monsieur exigeait et recevait. Très capricieux, il obtenait tout ce qu'il voulait par un simple mot, une simple phrase qui débutait par "je veux" et SA chose se tenait devant lui. Les hivers, ils les passaient à Sun Valley ou dans les Alpes à Megève ou Chamonix, et les étés, il les passaient sur les îles paradisiaques, l'île d'Yeu, Capri entre autres... La famille, qui possédait des hôtels un peu partout dans le monde, était pour ainsi dire immensément fortunée. Et les affaires ne cessaient d'accroître. Invité à l'une des soirées très privées, Charles Scott, âgé alors d'une vingtaine d'années, s'ennuyait à mourir avec quelques copains aussi très "fils à papa", terminant son énième verre de champagne. Il avait revêtu un beau costume Armani et ne cessait de soupirer. Il détestait devoir être présent à ces soirées où il ne faisait que de la figuration. Bien sur, c'était à son père que l'on s'intéressait. Lui n'était que l'héritier. Mais bientôt, lui serait le "premier rôle" et son fils le "figurant". Certains prenaient soin de lui demander s'il avait des projets particuliers.... Mais rien de très important... D'ailleurs Charles ne prenait parfois pas la peine de répondre... Jusqu'au moment où un certain Lewis, Peter plus précisément, se montra un brin plus intéressé que les autres. Et quelle ne fut pas la (agréable) surprise de découvrir que ce monsieur avait une fille d'un an de moins que Charles. Celle-ci apparut quelques minutes après au bars de sa mère en robe mousseline Oscar de la Renta. Elle était absolument sublime. Ses cheveux étaient remontés en un chignon dévoilant un adorable petit cou doux et diffusant une agréable odeur de mûre. Dès le premier regard, Charles su à quel point cette jeune femme jouerait un rôle capitale dans sa vie. Ils étaient issus du même milieu, vivant de luxe et avaient le goût prononcé pour les mêmes choses (elle en Oscar de la Renta et lui en Armani).

Quelques semaines auparavant, cette ravissante jeune femme à la chevelure soyeuse répondant au prénom de Claudie Lewis venait d'accepter la demande en mariage d'un cousin à l'héritier au trône de Savoie, Frédéric de Savoie. Ils étaient en couple depuis deux ans mais se connaissaient depuis leur enfance où ils passaient leur été en Vendée à l'île d'Yeu. Leurs familles se connaissaient depuis des siècles ; l'arrière grand père de Claudie Lewis avait dirigé la construction d'une des maisons familiales des princes de Savoie et par la suite, ils avaient gardé contacts et sont devenus amis. D'années en années, l'amitié fut de plus en plus grande jusqu'au jour où tour à tour naquit Frédéric et Claudie. Les deux pères avaient tous deux eut cette idée en tête : unir leurs familles à tout jamais et l'occasion était parfaite avec ces deux nouveaux nés. Tout avait été fait pour que Claudie et Frédéric s'entendent. Même à ce que Claudie aille vivre quelques temps, pendant ses années de collège, en Savoie chez Frédéric, abandonnant sa bonne vieille capitale anglaise. Pour le lycée, ce fut Frédéric qui posa ses valises à Londres et c'est à ce moment là que tout démarra. De leur premier baiser à la demande en mariage, le temps passait. Le début de leur histoire fut passionnée puis romantique. Mais Claudie, petite enfant chérie très sage et coquette, sut que sa rencontre avec Charles Scott ce soir-là ne serait pas dernière. En effet, elle avait vu juste. Quelques jours après la soirée, les Lincoln organisaient un port en l'honneur d'un nouveau hôtel à New York, le second dans la ville et les Lewis étaient invités. L'occasion était inespérée pour les deux jeunes gens car la famille de Claudie était à New York pour un mois, seulement. Lors de leur seconde rencontre, trois choses se sont produites : le coup de foudre, leur baiser caché dans les toilettes et leur échange d'adresse. Le lendemain en soirée, Charles Scott se trouvait en bas de chez Claudie et ce fut comme durant le mois. Un mois d'histoire d'amour tenue secrète. Un mélange de désir, d'amour et d'interdit : voilà de ce qu'avait besoin de ressentir la jeune Lewis toujours habituée à suivre la même chronologie des choses : se marier avec le de Savoie et avoir des enfants.... C'était en quelque sorte un mariage arrangé. Elle avait un rôle majeur dans cette histoire. Elle se sentait obligée de se marier avec un "de Savoie" pour l'honneur de sa famille, pour son arrière grand père qui aurait souhaité ça. Elle était tombée amoureuse, d'un amour véritable de Frédéric mais ses parents ne lui avaient pas laissé de temps et c'était pour cela qu'elle s'en allait au bras d'un autre. Elle s'accordait des interdits qui n'en étaient pas pour les autres jeunes filles. Elle avait dix neuf ans et déjà elle était fiancée. Le mariage était prévu aux environs de l'année prochaine et l'année suivante, elle serait déjà en train de pouponner. Son destin était déjà tout tracé et on ne lui avait rien demandé. Claudie voulait avoir des expériences, connaître son premier vrai chagrin d'amour et espérait construire sa carrière dans le journalisme comme elle l'avait toujours voulu.

Alors que la jeune Lewis s'apprêtait à retrouver Charles, son père la trouva et lui fit savoir qu'il avait deviné son petit manège. Il la mit en « garde », qu'à faire ça elle mettait en danger ses fiançailles mais cela ne l'arrêta pas. Elle fit affront à son père et ce soir-là, un jeudi 27 juillet, tout commença vraiment. Alors qu'il était aux alentours de minuit, l'insouciante jeune femme proposa de partir à New York. De prendre l'avion, direction Las Vegas où ils attérirent dans la journée qui suivit. Ils y restèrent durant deux semaines, installés dans un casino jusqu'au jour où Peter Lewis les retrouva. Mais le jeune couple s'était marié. Le père tomba des nues et repartit à New York furieux. Ce que ne savait pas Claudie en s'uniant à Charles c'est qu'elle rompait tout le lien de sa famille à celle des de Savoie, fait que son père ne lui pardonnerait jamais. Mais la jeune mariée s'en fichait. Elle était avec l'homme qu'elle avait choisi.
Du côté des Scott, la nouvelle du mariage fut d'abord une surprise puis ensuite une joie partagée. Le mariage fut officialisé l'année suivante à Acapulco au Mexique. Une cérémonie digne de celle du Prince d'Angleterre. Au total, 500 invités tous aussi célèbres que riches, un cadre idéalique et le bonheur de deux personnes que le mariage unissait "pour la vie". Tandis que du côté des Scott et des amis du couple, la fête battait son plein, pour les Lewis, aucun n'était présent excepté l'oncle de Claudie, Pierre Desmoulins qui avait gardé contact avec elle. Le voyage au Mexique dura une semaine puis les jeunes mariés, âgés alors de 21 ans, s'envolèrent en France à St Tropez pour retrouver leur yacht et parcourir la Méditerrannée. Deux semaines de voyage et qu'elle ne fut pas la joie lorsqu'un mois et demi plus tard, Claudie annonçait qu'elle était enceinte. Neuf mois furent écoulés et des jumeaux naquirent : Wade Arthur William, moi et Liam Scott, mon frère.

Notre « début d'enfance » fut simple et heureuse. Installés à Paris, papa et maman commençaient à s'ennuyer dans leur appartement du 16ème arrondissement. Ils avaient envie de changer, maman voulait travailler à New York, elle adorait les cabinets américain. Liam et moi furent en majeur partie éduqués par une nourrice, puis au bout d'un an, quand papa et maman décidèrent de retourner à New York dans le quartier huppé de Manhattan dans l'Upper East Side, maman s'accorda un petit mois pour Liam et moi avant de travailler. Nous fûmes envoyés dans une école privée et deux ans après, Evelina Maribel Scott arriva dans la famille. Elle était la petite fille que maman avait tant voulu. Entre Liam et moi, l'entente fut toujours cordiale, bien que des conflits entre fratrie éclataient. Nous grandîmes ensemble, toujours à s'épauler ou à sa chamailler.
Je vécus mon adolescence comme un mouvement de liberté. Papa et maman me laissaient faire ce que je voulait. Mes notes chutaient mais je réussissais quand même à passer les classes du cursus scolaire normal.
Au fil du temps, je devenais un jeune homme et mon caractère changeait. Je donnai son premier baiser à quinze ans. Le premier arriva donc puis le second et c’est ainsi que je les enchaînai. Mon corps fascinait toutes les jeunes filles, mon visage d’ange faisait que toutes craquaient pour lui et je jouais déjà de ça. Mon désir montait et finalement je perdis ma virginité à l’âge de seize ans. Je n’étais plus le petit garçon qu’on emmenait partout, non, j'avais grandi et je le clamais. Terminé les vêtements que maman ou la nourrice me préparait la veille pour le matin, je voulait choisir mes propres vêtements. Mes choix étant faits, j'attirais de plus en plus de jeunes filles et je ne cessais pas mon petit jeu pervers, Des petites amies, on peut dire que je les ai collectionné. Il y en a que j'ai aimé, d’autres pas. De toute façon ma devise était : « tomber amoureux c’est pour les faibles, et moi je suis forte ».
En revanche, un jour alors que je se promenais avec des amis dans l'Upper East Side, mon regard tomba sur Kelly-Ann Stantford, fille du grand avocat Stantford. Ma devise fut alors bien derrière moi. Je tombai sous son charme, ses beaux yeux m'avaient envoûté et son parfum s'était fondu en moi. Nous nous sommes revus et nous sommes sortis ensemble. Un mois après elle a perdu sa virginité avec moi. Notre amour est fort mais je doute parfois du sien. Nous sommes jeunes, je suis arrogant et séducteur. Elle est intelligente et charmeuse. Où tout cela nous mènera t-il ?

2. Détails psycologiques : Mon nom est Wade Scott et tout le monde sait qui je suis. Ne vous cachez pas mesdemoiselles, je sais que vous rêvez toutes de m'avoir. Mais -et oui, toutes les bonnes choses sont inaccessibles pour ceux qui ne font pas partis de nous: l'élite, -n'oubliez pas qui je suis. L'arrogance me connaît, l'hypocrisie est mon jeu favori, la manipulation fait de moi un roi et les apparences sont trompeuses. Je ne suis pas comme n'importe qui, je porte un nom qui me va à merveille. Je suis un Scott, un fa-bu-leux Scott. Mon père voulait un fils digne de son nom, et je suis l'héritier tant désiré. Ma prétention fait tout mon charme, « je snobe donc je suis », telle est notre devise, nous, du haut de nos appartements surplombant Central Park. Je sais qui sont mes véritables amis, je les trie sur le volet. Ou devrais-je dire, mes parents m'ont attribué mes amis : l'Upper East Side et tout ce qui va avec. Vous venez de l'Upper West Side ? De Harlem ? Trop peu pour moi -et mes parents. Je suis l'élite, mes amis sont l'élite, nous sommes ensemble et vous à l'écart. Telle est la vie, aussi cruelle que vous pouvez le dire mais elle nous a fait comme ça. On nous envie, on nous aime mais nous,
on vous déteste. On n'a pas besoin de vous, nous n'avons juste besoin de nous. Je suis arrogant, on peut me détester pour ce que je dis et ce que je pense, mais on m'aime car « je suis », car « je fais partie de l'élite » et car « je suis beau ». Je me crois au-dessus de tout le monde ? Ce n'est pas qu'une impression, je suis au-dessus de vous. Je vous méprise, je ne veux pas de vous et de vos : « oh les pauvres quand même, si jeunes... » Je n'ai pas besoin de vous, juste de moi.
Si ma prétention est hors norme, mon narcissisme l'est plus. Chez moi, il n'y a que les femmes qui font les magasins, n'est-ce pas ? Elles seules le peuvent, peut-être aimeriez-vous aussi, mais votre compte bancaire ne survivrait pas à d'autres achats. Moi, je me permets tout. Je vis, je profite de papa et de maman. J'aime les vêtements, les accessoires, mais je ne suis pas une fille. Mes marques fétiches sont Diesel, Armani, Dolce & Gabbana, Gucci, Burberry ou encore Vuitton -quoique Louis me désolée ces temps-ci... et puis il y a tellement de contre-façon que du Vuitton je n'en veux plus. Non je ne me regarde pas dans la glace pour me rendre compte à quel point je suis beau car je le sais.

Mais je suis fidèle. Fidèle à ma Kelly-Ann que j'aime, fidèle à mes principes qui sont : « je fais parti de l'élite, je n'ai guère besoin de vous », Je suis les objectifs de papa, un jour je reprendrais l'entreprise de papa et je rirais bien lorsque vous me devrez de l'argent. J'aime l'argent et pire, je le dépense. Je n'ai pas besoin de faire de stupides économies pour m'acheter une maison, pour partir en vacances... Je ne compte pas l'argent que je dépense, ni l'argent que l'on me donne. Il y en a toujours assez. Je disais donc que j'étais attaché à Kelly-Ann et fidèle. Kelly-Ann n'est que mon exemple pour la bonne raison que c'est ma petite amie. Mais je l'ai toujours été, avec mes amis et avec mes amours. Je suis jaloux, j'aime que les choses soient à moi même si je ne considère pas Kelly-Ann comme un « objet » loin de là. Avec elle, c'est différent. Elle me transforme. Elle transforme ce vilain fils à papa plein d'arrogance et d'hypocrisie et en fait un jeune homme charmant et attentionné. J'aime prendre soin d'elle, comme si elle était le jean Diesel que je venais de m'acheter -mais qui est déjà bien usé. Je ne suis pas quelqu'un qui rit facilement, je ne fais pas de blagues, je m'amuse simplement. Avec Kelly-Ann, c'est différent. Elle me fait rire chaque seconde passée avec elle. Mon sourire est sincère, ce n'est pas le même sourire que lorsque je remercie le vendeur de chez D&G qui me tend ma poche de fringues. Non, c'est un beau et grand sourire qui exprimer tous mes sentiments pour elle. Je me suis attachée à elle et j'aimerais qu'il soit en véritablement la même chose pour elle. Je suis têtu. J'aime avoir raison, mais à votre différence, c'est que moi, j'ai toujours raison. Vous avez beau dire, vous êtes toujours d'accord avec moi. Je sais rendre les gens de mon côté, je suis hypocrite et manipulateur, et j'aime tellement ça. J'adore jouer avec les gens, c'est mon passe-temps favori.

Toujours est-il que même si je suis quelqu'un qui a beaucoup de « défauts », je suis un fêtard et un innovateur. Je touche à tout, je fume, je bois, j'innove
avec la coke, inaccessible au commun des mortels. Alors je divague, mon caractère est assez surprenant. Je suis toujours dans l'originalité, on ne sait jamais à quoi s'attendre quand on est avec moi. Je prends des risques, je fonce parfois tête baissée et j'assume les conséquences. Enfin, papa assume mes actes car je n'ai que 17 ans. Et oui, je suis encore couvé par papa, et surtout par maman. Elle me casse les pieds mais je l'aime. Nous nous aimons, plus que tout au monde. Et alors ? Je n'ai pas honte, je n'irais pas comme vous, simple smicards, lui « casser la gueule » parce qu'elle ne m'a pas laissé de fric -ouais bon déjà ce problème ne se pose pas chez moi. Enfin bref, je sais aussi sourire, je sais me montrer compréhensif avec mes amis et je suis apprécié. J'ai une jolie bande de copains, nous faisons nos 400 coups ensemble et on se marre bien. Nous n'avons besoin de personne d'autres, et
encore moins de vous. L'Upper East Side est unique, et nous le resterons. Je suis aussi quelqu'un de curieux. J'aime tout savoir mais je ne me prends pas la tête. Je réfléchis et j'agis quand les choses en valent la peine, sinon comme je l'ai dit un peu avant, je fonce et je vois ce que ça fait. J'aime bien
cerner les gens qui m'entoure. Oui je les juge, on peut dire ça. Quand je me promène, je ne peux pas m'empêcher de regarder comment les autres lycéens de mon âge sont habillés car je veux être le meilleur -et je suis déjà
le meilleur mais il faut le rester. Je suis fier de ce que papa et maman ont fait de moi. Je n'ai pas à me plaindre, et pourtant... Pourtant ma vie n'est pas toute rose car nous aussi on a des obligations à cause de ceux qui ne fichent rien dans leur vie à part faire le bordel. Alors on trime à cause d'eux ! Mais notre revanche sera pire ! J'aime déplaire aux gens, c'est ma façon à moi de rester.. moi-même. Je suis unique, mon caractère est à apprécier ou à détester. Il n'y a pas de juste milieu. On est l'élite ou on ne l'est pas. Et moi, je le suis.

3. Détails physiques : Lorsque l’on me regarde, on peut se rendre compte à quel point mon visage est beau. Même angélique. Il suffit d’observer mes traits si fin, la forme de mon visage est ovale, ma peau est nette et légèrement bronzée. Il n’y aucune imperfection, ce qui me rend irresistible. Même si je suis un peu typé, qui suis américain, j'ai le physique d’un parfait occidental.

Je possède des cheveux épais châtains clairs qui sont dans la continuité de mon visage. Je ne me coiffe (presque) jamais, un petit coup de main dans les cheveux et le tour est joué. Mais je prends soin de mes cheveux, j'aime aller chez le coiffeur.
J'ai de magnifiques yeux marron qui accentue la part de mystère que j'entretients. Mon regard exprime de nombreuses choses qui sont difficiles à cerner. Je suis véritablement quelqu’un de mystérieux avec mes airs de rêveurs et de romantique. Et pourtant... Mes sourcils, épais, accentuent mon regard de braise. Ils me donnent un air de vilain garçon.
Ma bouche est fine, et lorsqu’on m’embrasse on peut sentir un doux parfum naturel. Mon joli sourire révèle de jolies dents blanches, et oui j'ai mon secret pour qu'elles restent intactes même si je fume. Mon menton achève mon visage avec une mâchoire plutôt carrée qui me rend plus viril.
Je suis plutôt grand, tout en restant dans la moyenne des hommes. Je mesure le mètre quatre-vingt et ne suis pas gros. Non, je suis plutôt très mince mais je n'ai pas non plus la peau sur les os. Mon ossature est plutôt musclée même si je ne fais rien de particulier. Lorsque je suis torse-nu on peut apprécier mes tablettes de chocolat et mon petit secret...
Je m’habille telle une personne de mon rang. On peut me voir vêtu d’un jean, Diesel, et d’un haut assez moulant. Je porte souvent des baskets, ce qui avec tout, mais vous ne me verrez jamais en survêtement, j'ai horreur, ça fait trop beaufs !
J'adore mes nouvelles paires de Ray Ban, des aviators, je les emmène partout. Sinon, mon accessoire fétiche est l'écharpe. Alors vous m'aidez : écharpe bleue ou beige de chez Gucci ? Je voulais vous demander aussi : aujourd'hui, jean Diesel ou polo Ralph Lauren ?

4. Signes particuliers : Mon adorable sourire en fait craquer plus d'une, tout comme mes beaux yeux. J'ajouterai que mon beau corps les fait fantasmer mais ce n'est pas tout. Le physique est certes, important mais ce n'est pas la seule chose qui me rend si... particulier. Mon timbre de voix est à la fois doux et viril. Et je n'oublie pas de préciser que j'ai un tout petit tatouage sur le torse que je me suis fais à l'âge de quinze ans. Papa et maman ne le savent et je compte bien ne pas leur dire. Au risque que papa refasse un semblant de crise cardiaque...

III. Questionnaire

1. Que trainez-vous toujours dans vos poches? : Mes clefs de voiture, celles de ma Ferrari rouge -cadeau de papa et maman pour être passé les voir à Genève l'hiver dernier. Comme s'ils avaient besoin de voir leur fils tant adoré... J'ai aussi dans mes poches une carte Gold au cas-où il me prendrait l'envie d'acheter quelque chose et mon (ou mes) paquet(s) de cigarettes. D'ailleurs, cela me fait penser que cet été lorsque papa a voulu conduire ma Ferrari, il est tombé sur un de mes paquets de Malboro... Il a failli nous faire une crise cardiaque mais rassurez-vous, il en est sorti indemne. Et moi, je continue à fumer.
2. Votre type de femme? : Je pourrais vous dire que ça se résume en une seule personne : Kelly-Ann Stantford, une belle brune aux yeux verts et au charmant sourire. Adorable et dynamique, quoiqu'un peu jalouse et tête en l'air, Kelly-Ann a su faire chavirer mon coeur. Ses manies, son caractère
impulsif me surprennent toujours.
3. En un seul mot, lequel vous résumerait le mieux? : Gentleman vous irait ?
4. Comment décrivez-vous les gens de l'Upper? : Hé bien nous sommes une minorité, certes, mais qui savons profiter des bonnes choses telles que le champagne, le caviar et autres mets les plus délicieux. Nous fréquentons les gens des bonnes classes, certains nous appellent les "nouveaux riches", d'autres les "petits bourges" mais on se moque pas mal de ce que l'on peut penser de nous. Nous sommes uniques, on nous aime, on nous admire. Nos filles sont belles à damner un saint, nos garçons sont des gentlemans et des boureaux des coeurs. Nous sommes nés ainsi, une cuillère en argent dans la bouche et des lingettes Dior. On nous envie, nous ne vous envions nullement. Le monde a ces injustices. Nous sommes des profiteurs, de "papa et "maman", mais qu'est-ce que ça peut nous foutre ? On vit, et sans vous. On vit entre nous, avec nos Millésimes et nos homards, on fait la fête, on boit et on se drogue car la coke est réservée à l'élite. Et nous, on ne fait pas d'overdose car on vient de là-haut, de ce que vous ne pourrez jamais atteindre.
5. Vous êtes plus du type Barney's ou bien friperie? : Serait-ce la manière pour m'annoncer que la nouvelle collection Diesel vient de sortir ?!
6. Pouvez-vous survivre sans votre portable? : Euh... nan. Sinon, comment me retrouveraient mes parents qui passent leurs vacances à St Barth et moi avec mes amis sur mon yacht dans le Sud de la France ?
7. L'objet qui vous est INDISPENSABLE? : Franchement, tout m'est indispensable. J'aurais pu vous répondre mon paquet de clopes mais ça fait trop banal. Ma voiture, ouais et encore... La Ferrari, je commence à m'en lasser... Vous n'avez pas autre chose ?
8. Les boulots de vos parents sont-ils bien payé? : Si je vous dis que mon père est un homme d'affaires et que ma mère sous ses airs de petite bourgeoise coincée se cache une femme procureur sans état d'âme, vous répondez quoi ?
9. Votre plus grand rêve est-il d'entrer dans une université telle que Yale / Harvard / Princeton, etc? : Les études, trop peu pour moi. Mais il faut bien suivre un peu le "cours normal" alors on va dire Princeton.
10. Combien possédez-vous de carte de crédits? : J'en sais rien, et à vrai dire on s'en fiche.

IV. Goûts

1. Ce que vous aimez : Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Mes goûts sont simples, je me contente du meilleur. J'aime papa et maman, les belles voitures, ma petite amie et mon tout dernier béret Armani. J'adore les pâtes que fait mon meilleur ami, enfin sa cuisinière et je pense sérieusement à m'acheter une nouvelle caisse, bien que j'affectionne toujours ma Ferrari rouge mais elle se sent bien seule ces temps-ci. Que pensez-vous d'une Jaguar ? J'aime les personnes qui ont du caractère et de la conversation. Je raffole des macarons, ceux de Paris sont exquis, et je fais la collection des cartes postales que m'envoie Lilly, une très bonne amie -au passage excellente amante, qui fait le tour du monde avec son père. Bon sinon, j'aime la coke -genre je me la joue... nan, j'apprécie les bonnes choses. J'adore planer, j'adore le champagne et la jeunesse dépravée. Je profite, et j'aime ça. J'aime jouer avec les gens, j'aime énerver quelqu'un et je m'aime. J'aime les musiques qui me transportent... Moby, Fall Out Boy, Paul Van Dyke. J'aime Matt Damon, -nan je suis pas homo, c'est juste un acteur, inculte. J'aime sa doublure et j'aime dire que j'aime. J'aime dire que je m'aime. J'aime ce qu'on a fait de moi, j'aime cette société si injuste. J'aime ma classe sociale, j'aime papa et maman et j'aime Kelly-Ann.
2. Ce que vous détestez : Je hais les petits cons qui se trimballent avec leur contre-façon mal faite. Je déteste les raviolis et l'Italie. Je n'aime pas répondre aux sms qu'on m'envoit mais j'aime en recevoir. Je déteste attendre alors j'arrive toujours en retard. Je hais les personnes hypocrites alors je suis plus méchant qu'elles. Je hais les beaufs mais j'aime l'élite. Je déteste devoir me lever tôt et je fume de la coke entre les cours. Je décide de la vie que je mène, je déteste avoir des contraintes. Je n'aime pas les portables qui se déchargent, je n'aime pas parler à cette fille qui me colle et je n'aime pas cette Gossip Girl. Elle est si futile. Je la méprise, je n'ai pas envie de savoir qui c'est. Je m'en fiche. Je déteste les insectes, mais heureusement je n'en croise pas souvent. Je déteste le taxi mais après une fête, je suis bien content de le trouver. Je déteste les maudits détours des chauffeurs mais j'ai du fric et je m'en fiche. Et je déteste être fatigué... Je reprendrais bien un peu de coke.
3. Aimez-Vous Gossip Girl? Si je pouvais voir sa tête, je vous réponderai. En tout cas, cette fille est très forte mais tellement futile. C'est vrai quoi, serait-ce par jalousie ou alors pour seulement pour nous emm*rder ? Parce que passer sa vie à rendre les ragots publiques, c'est tout ce qu'elle fait. Il y
a plus passionnant ma grande !
4. Couleur Préférée: Le gris. J'adore les carreaux (les motifs sur les vêtements, on s'est compris, hein) et le mélange gris-noir-blanc avec un peu de bleu ou de rouge, c'est parfait. Bien sûr, c'est signé Burberry.
5. Livre Préféré: Les livres et moi, on ne se cotoie pas tellement alors je ne pourrais pas vraiment vous répondre. Enfin si ça vous intéresse et comme je crois que oui, mon livre de chevet en ce moment c'est le catalogue automne/hiver de Gucci, j'hésite encore entre l'écharpe beige et l'écharpe bleue marine. Je crois que je vais prendre les deux...
6. Musique Préférée: J'allais vous répondre Mozart mais ça serait déplacer de le mentionner ici. Non pas que je ne l'aime pas mais se retrouver mélanger à toutes ces futilités, je crois qu'il n'apprécierait pas. Bah sinon, j'écoute un peu de tout. Il faut être large d'esprit.., parfois.
7. Boisson Préférée: Le champagne quelle question !
8. Boite Préférée: Bof, n'importe laquelle. Du moment que je retrouve mes amis, ma copine et que l'on s'éclate à faire tourner la tête des pauvres serveurs en leur tendant gracieusement nos cartes de crédit pour les bouteilles de champagne, je vais n'importe où.
9. Magasin Préféré: La boutique Diesel. Le seul avantage, aucun nabot qui vient me botter le c*l, je n'y croise que l'élite. Ca fait du bien de se retrouver chez soi.
10.Restaurant Préféré: Sans doute le Fouquet's à Paris.
11.Endroit Préféré: Le Boulevard Haussman, aussi à Paris, pour ses nombreuses boutiques de luxe.
12.Saison Préférée: L'été, quoi de mieux d'être en vacances ? Nan, pas celles qui durent deux semaines.., celles qui durent deux mois...
13.Lieu de vacance Préféré: St Barth, quoique le ski c'est pas mal non plus à Megève ou encore à Chamonix. Ou le Cap Ferret aussi, en France, j'aime bien retrouver nos français les têtes blondes. Et surtout, où il n'y a pas de beaufs !
14.Pays Préféré: "Pariiis je t'aiime", ouais... on va juste répondre la France

V. Fiche cachée

1. Prénom : Lise
2. Âge : 17 ans 1/2
3. Sexe : F
4. Votre avis sur le forum : Très joli, le design est agréable et il donne envie
5. Code :

Spoiler:

6. Star sur l'avatar : Jensen Ackles

Voilà, j'ai terminé Very Happy

xD

Je loooooooove ta présentation !!!!!!!

Bref... Jte souhaite la bienvenue sur le forum ^^

VALIDE

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