Jeunesse dépravé. [Lizzie]

Comme chaque soirs et ce depuis qu’il avait l’âge de faire face à sa notoriété, Erik était de sorti. Il avait passé l’après midi à parfaire sa tenue pour le Midnight Carnaval, que la fille des Waldorf avait cru bon d’organisé. Il avait fait non sans mal toute les boutiques de luxe qui se trouvait sur l’avenu la plus cher de Manhattan. Versace, Dolce & Gabanna, Gucci ou encore Armani, tous y était passé. Erik était rentré avec une dizaine de paquets entre les mains. Il faut croire que le jeune Van Der Woodsen avait cru bon refaire entièrement sa collection de costume italien. Quoi que le faire venir immédiatement d’Italie aurait été bien mieux. Enfin bref.

Après un dîner laborieux avec ses parents et sa sœur dans un restaurant quatre étoiles donnant sur Central Park, Erik avait rejoint sa porche gris métallisé pour filer directement au Factory. Il avait bien l’intention de finir sa soirée en beauté.. Dans l’alcool et la débauche s’il vous plait. La débauche ? Peut être pas en fin de compte, Erik n’avait – ce soir – aucune envie de jouer l’apollon de service. Envie qui passerait sans doute après avoir avalé deux vodkas. Un peu libertin sur les bords le jeune Van Der Woodsen. Les conquêtes féminines c’était sa grande spécialité.

Il était arrivé au Factory vers 22h30. Et la discothèque était pleine à craquer, ce qui arraché un sourire au divin jeune homme. Sentant la musique prendre possession de lui, Erik avait rejoint directement quelqu’une de ses connaissances sur la piste de danse, dansant au rythme de la musique. A vrai dire, Erik était plutôt bon danseur. Autant dire, qu’ici le jeune homme était dans son élément. Mais la soif étreignit bien vite sa gorge sèche. Erik se dirigea donc avec volonté vers le bar, tous en continuant de danser. A une dizaine de mètre du bar, Erik se retourna et regarda la jolie brune qui venait d’entré et dont tous les regards c’était posé sur elle. Il aurait cru reconnaître celle qui pendant un temps avait été la meilleure amie de sa sœur, Blair. Loupé. C’était une simple fille des quartiers chics. Au moment où il avança vers le comptoir, il percuta quelqu’un de plein fouet. Sentant sa chemise s’imprégné à sa peau, il comprit bien vite qu’on venait de renversé un verre sur sa chemise à 300$. Magnifique.

Erik releva les yeux vers la source de l’incident et tombé nez à nez avec une jolie blonde à qui il adressa un sourire chaleureux, tout en la félicitant d’une telle bêtise. Si elle n’avait pas été un semblant mignonne, Erik l’aurait sûrement engueulé et par la même occasion, à le rembourser.

- C’est malin ! 300$ foutu en l'air.

Lizzie avait passé le début de soirée chez elle, avec ses parents et des amis à eux. Chaques weekend, ils organisaient des soupés de plus en plus ennuieux et la mère de Lizzie la forcait à rester. Notre petite "princesse" était restée assise sur sa chaise tout en jouant avec sa nourriture. Vers 20h30, sans était trop. Elle se leva avec un grand sourire et demanda à tout le monde de l'excuser. Elle se diriga vers les toilettes en prenant soins de prendre ses clé de voiture, une Mini en damier rose et noir. Elle ferma la porte des toilettes à clé et ouvrit la petite fenêtre. Elle passa une jambre puis l'autre et sorti sur le toit. Il y avait juste en face de l'endroit où elle se trouvait, un grand arbre. Elle sauta sur une branche et réussi a descendre sans trop de mal. Elle courru jusqu'à sa voiture et parti en direction du Knitting Factory, un des endroits les plus branchés. Sa mère l'avait forcé à revétir une robe ideuse avec des froufrou et des fleurs. Heureusement, sur sa banquette arrière, Lizzie avec une caisse de vêtements. Héé oui, elle avait l'habitude de ces situations. Elle enfila vite une mini jupe noir, des bas en résie noir, des converse rose ainsi qu'un mini top très moulant rose lui aussi... Sans oublier ses fidèles bijoux divers.

Une fois arrivée devant la boite, elle se garra, sorti et se diriga vers l'entrée. Elle avait besoin d'un petit remontant et alla donc directement vers le bar. Elle se prit un cocktel maison puis marcha jusqu'une table libre. Mais au momen où elle allait arriver à destination, un jeune homme lui bourra dedant. Elle renversa toute sa boisson sur lui. Il était beaucoup plus grand qu'elle (même si se n'est aps dur), elle leva le regard pour voir son visage. Il était très beau il faut l'avouer, mais Lizzie connaissait bien ce genre de gars. Elle fit un sourire ironique et dit en se moquant (ça pouvait s'entendre)

Hooo quel dommage, je suis sur que tes parents t'en acheterons deux our compenser...

Elle soupira et se dit qu'il fallait peu être mieu être sympathique... Elle dit avec un sourire sincère cette fois ci

Et tu me doit un verre

Erik – qui avait les yeux posé sur la jeune blondinette – aperçut très vite le sourire mesquin qu’elle portait à ses lèvres. Arquant un sourcil, il se demandait bien pourquoi elle prenait un tel air hautain. Il ne tarda pas à comprendre le pourquoi du comment. Elle était arrogante en plus. Trop fier pour se laisser marché dessus, Erik l’avait regardé de haut, l’air de se questionner sur sa provenance. C’était bien une de ses filles de l’Upper East Side qui se croient au dessus de tout. La serviette qui se fou du torchon. Erik était pareil. Oui mais bon là, ce n’était de lui dont il était question. A vrai dire, il était plutôt en tord sur l’accident qui venait de se produire et qui était une véritable catastrophe pour le jeune New Yorkais.

Il ironisa les mots de la jolie blonde en se mettant à rire. C’était fort probable. Mais ayant du réparti, la pauvre allait sûrement se manger les doigts de s’être montré ainsi face à lui. Elle se prenait pour qui ?

Sans doute. Mais en attendant, peut être devrait tu demandé à tes parents qu’il te donne quelques conseil sur la façon dont il faut s’habillé.

Arrogant. Erik pouvait l’être quand on se montrait ainsi avec lui. Et puis, il n’avait rien fait, ni même dit quelques choses de méchant à son égard. Il avait dit la vérité. Une chemise à 300$ foutu en l’air. Bon d’accord, peut être la façon dont il avait dit n’avait pas été des plus correct. Mais c’était tout bonnement Erik. Puis le beau brun écarquilla les yeux. Un verre ? Il lui devait un verre ? Et puis quoi encore. Il allait faire demi tour quand une certaine conscience de bonne éducation le rappela à l’ordre. Bien qu’il avait été impoli et surtout incorrect, de toute façon elle aussi l’avait été, il acquiesça de la tête.

J’voit pas pourquoi je te devrais un verre. Mais bon soit. Tu veux quoi ?

C’était loin d’être de la sympathie mais c’était quand même un bon début. Il n'attendit cependant aucune réponse de la part de la blondinette et se dirigea vers le bar.

Deux West Side.

Le West Side était sans conteste l'un de ses coktails préféré. Etant à la base fait avec du Wisky, on y rajoutait de la liqueur de banane, de la mandarine impériale et du jus d'orange. Quoi de meilleurs et c'était tou bonnement parfait pour entamer correctement la soirée. Le barman lui servit ses deux verres qu'Erik attrapa pour ensuite se retourné vers la jeune femme, tout sourire.

Et voilà blondinette.

ET si ça lui plaisait pas. Tant pis.

Haaa, ce jeune homme avait de la réparti. Lizzie lui fit un sourire craquant lorsqu'il la cassa à porpos de ses vêtements. Elle savait qu'elle était arrogante et ce qu'elle adorait par dessus tout c'était les garçons encore plus arrogant qu'elle. Elle rigola légèrement et dit tout de suite à près

Si j'écoutait les conseils de mes dégénérés de parents, je serait habillée avec une longue robe à froufrou et à flaur des année 50...

Elle passa sa langue sur le côté comme pour le provoquer. Elle sentait qu'il allait bien lui plaire ce gars ^^
Mais lorsqu'il lui dit qu'il voyait pas pourquoi il lui devait un verre, Lizzie mit ses mains sur ses hanches avec de grand yeux surprit

Tu as un sacré culot toi... Tu me doit un verre parce que le contenu de celui que 'javait en main il y a quelques minutes à entièrement été absorbé par ta chemise si éllégante et chère ^^ Et tout ça parce que tu n'as pas le yeux en face des trou beau brun

Lizzie le suivit ensuite jusqu'au bar et prit son verre en main quand Erik lui en tendit un. Elle n'avait jamais gouté mais ça avait l'air bon...Elle avala une gorgée tout en regardant le jeune homme dans les yeux. Elle dit ensuite en tendant sa main pour serrer celle du jeune homme

Je m'apelle Lizzie Milian

Réaction bizarre de la blondinette. Elle rigolait à sa remarque alors qu’elle aurait du faire le contraire. L’effet qu’Erik avait souhaité n’avait pas fonctionné, quoi qu’il venait gentiment de la remettre en place. Elle essaya tout de même de lui répondre avec réparti en lui expliquant que si elle écoutait ses parents, elle porterait des robes des années cinquante. Pourquoi pas. La mode revenait aux années hippies, du moins d’après les dire de certaine de ses amies de Brown. Il haussa des épaules, lui montrant qu’il s’en balançait pas mal.

Les années cinquante reviennent à la mode, tu devrais essayer les robes à froufrou. C’est pourrai t’allé comme un gant.

Elle fut surprise de voir qu’il n’allait pas aussi bien accepter de lui payer un second verre. C’était sans connaître Erik puisqu’il n’avait même pas attendu sa réponse. Elle lui expliqua tout de même le pourquoi du comment, ce qui agaça un tant soit peu Erik. C’était de sa faute si sa chemise s’était imprégnée de son verre. Et puis quoi encore. Elle ne manquait vraiment pas d’air.

Mais blondinette, au lieu de renvoyer la faute sur moi apprend déjà à tenir un verre entre tes mains. On en reparlera après.

Il lui adressa un clin d’œil, étrangement sûr de lui. De toute façon, Erik l’était toujours. C’était l’héritage de ses parents. Elle attrapa ensuite le verre qu’il lui tendait dont elle but immédiatement une gorgée. Erik fit de même, savourant cette fois ci les cocktails qu’il tenait entre ses doigts. Alors qu’il s’apprêtait à partir s’assoire quelque mètre plus loin, elle lui tendit sa main, tout en se présentant. Il fut néanmoins surpris de voir qu’il attendait qu’il se pressente à son tour. Elle ne le connaissait pas ? D’où elle sortait ? D’un village dans le fin fond du Texas ?

Erik ..

Il attrapa sa main qu’il serra quelques instant avant de la remettre dans sa poche, en prononçant distinctement son nom de famille. Peut être allait’il le frappé.

Van Der Woodsen, blondinette.

A vrai dire, ce surnom lui allait plus que bien. La soirée promettait.

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