Adam - Imagine... <3 |Completed|

I. Carte d'identité

1. Nom : O'Maley
2. Prénom : Adam
3. Age & Lieu de naissance Agé de dix-sept étés un tantinet sublimes, Adam vit le jour pour la première fois un 24 décembre dans l'année peu gracieuse de 1990.
5. Lieu de résidence : L'hippy boy vit tranquillement à New York dans l'Upper East Side.
6. Groupe : Upper Guys

II. Description physique & psychologique

1. Histoire de votre vie :

L'histoire d'Adam O'Maley est une histoire comme tout américain moyen en raffole avec une dose de merveilleux sous-jacente et une jolie petite happy end...
Il était donc une fois, un jeune homme finissant tout juste ses études de médecine. Un jour, Dieu descendit en cumulus express et lui tint ce langage :
« EH Siôn mon pote, sur cette feuille je bâtirais ta clinique si tu me refais un peu Marie, la pauvre est plus toute fraîche ! »

Oups. Mauvaise version de l'histoire. Oubliez, on recommence.
_______________________ *

Siôn O'Maley s'ennuyait à mourir dans sa petite clinique. Enfin petite serait un euphémisme pour feu l'Abbé Pierre sachant que 548 237 291 cartons auraient facilement trouvés place dans son lieu de travail en faisant rentrer le bidon un peu flasque de son associé Juan (eh oui, papa et maman étaient plus que friqués et leur arrogance était à la mesure de leur argent : sans bornes visibles). La raison de son ennui ? Bien simple... Il se tenait là, renversé sur sa chaise, les pieds sur son bureau, en pleine lecture de son magazine préféré comportant un nom masculin pour tout titre et dans lequel paradaient des filles en petite tenue et tentait vainement de se concentrer pour faire croître de manière exponentielle sa libido lorsqu'apparurent les premiers gé... symptômes. Manquant de tomber de son respectable fauteuil mais laissant choir malgré lui le dit magazine alors qu'il en était à un dépliant fort intéressant sur la moquette du bureau. Siôn écarquilla les yeux, vertement surpris. Ne voulant décoller ses pieds du bureau, il se pencha pour rattraper la huitième merveille du monde mais s'écrasa lamentablement au sol, nez en avant bien sûr lorsque un cri des plus puissants retentit.

« OH MY FUCKIN’ GOD ! JUAAAAAAAN ! »

Juan ? God ? FUCKIN’ ? ... Le nez contre la moquette, Siôn n'en croyait pas ses oreilles. Juan. Juan était en train d'avoir un plan impliquant la 17ème lettre de l'alphabet sur son lieu de travail... Bougre de salaud ! Se levant aussitôt, plus rapide que Buzz l'éclair, le chirurgien avait détalé jusqu'à la porte de son bureau, espérant lire le choc sur le visage de sa jolie secrétaire et se décomposa en voyant qu'elle n'y était pas. Pâle comme un bonhomme de neige, Siôn retourna à l'intérieur et se laissa chuter dans son fauteuil. Lui qui n'avait jamais appris l'espagnol sentait de vulgaires mots lui chatouiller la gorge, frémissants avec extase sur ses lèvres. Il se sentait soudainement bilingue tout simplement. Appuyant ses doigts contre sa tempe, il tenta de calmer la jalousie qui le dévorait de l'intérieur à l'idée que cet imbécile de taureau velu, cet homme à tête et corpulence de Minotaure soit très actuellement en train de passer l'un des plus agréables après-midi de sa vie. Soupirant, Siôn parvint à effacer la rancœur de son être et fort comme un seul homme, ramassa le magazine et se replongea dans la douce observation de jeunes femmes dénudées. Et puis d'abord Juan et God dans la même phrase, c'était définitivement pas compatible et de toute façon, elle n’était pas si canon que ça la blonde platine dans sa robe rouge moulante. Non mais... Après tout, les accidents de travail arrivaient si vite, il suffisait de faire déraper involontairement le scalpel pour l’intervention de remodelage de la poitrine de la vieille Madame Berrys à 14h le lendemain même et de sectionner les attributs dont était si fier le señor. Pas de quoi crever une mouche en somme…

De son côté, Laureline Chambard était dé-bor-dée. Elle courait à droite, à gauche, en zigzag, trémoussant son tablier sur son passage. Son tout nouveau, tout beau, tout merveilleux restaurant ouvrait dans très exactement 1 jour 2 heures 18 minutes et 46 secondes et rien, RIEN n’était prêt. La décoration était passable à son goût, les menus à peine ébauchés suivant son perfectionnisme et surtout, surtout… Gabriel avait eu le toupet de lui ramener des infâmes chaises alors qu’elle avait très expressément demandé à cet ignorant peroxydé des tabourets mais non, au lieu de lui ramener un espèce de truc rond avec quatre pieds, cette bestiole anglaise avait pas trouvé mieux que de se targuer de la sauver pour la mettre dans une rage folle. Marianne, sa meilleure amie, la retenait donc de temps en temps gentiment par le tablier dès qu’elle la voyait loucher de trop près vers un objet pointu ou tendre une main désireuse vers une poêle. God. God. God. Que le ciel lui vienne en aide sinon ce savoyard allait finir en raclette. La spatule trouva le chemin suffisant pour que ses doigts fins se referment dessus et elle la cacha à l’abri des regards, surveillant du coin de l’œil sa meilleure amie et associée, devenue meilleure ennemie jusqu’à la réouverture. A pas de loups, elle se dirigea vers Gabriel, s’assurant que Marianne était bien trop occupée à conter fleurette à un brun ténébreux pour attaquer l’erreur humaine de son arme.

« CRETIN ! IMBECILE ! SUPPOT DE SATAN ! ESPECE DE… espèce de… ESPECE DE RACLETTE LIQUIDE ! »

Le fou rire acheva Gabriel qui en tentant de se protéger des attaques inutiles mais violentes de la jeune femme, trébucha malencontreusement sur une chaise judicieusement placé au préalable par Laureline. Elle affecta la surprise et le désolément, secrètement ravie de sa chute. Evidemment… S’il avait choisi les tabourets comme elle le souhaitait, il ne serait pas tombé puisqu’elle ne les aurait pas laissés trainer. CQFD.

Six mois, trois semaines, quatre jours, trois heures, deux minutes et une seconde plus tard.

Pour la quarante-septième fois de la soirée, Siôn ajusta sa cravate en se regardant dans la vitrine, déglutit, consulta sa montre, poussa un grand soupir et remit ses mains dans ses poches. Indéniablement il était nerveux et si furieux contre Juan qu’il avait commencé à creuser une mini rigole à côté de lui. L’aiguille avait presque fait le tour du cadran (la petite hein pas la grande, Siôn est pas aidé mais quand même…), lorsqu’il s’était décidé à bouger, contrarié. Non seulement il rageait depuis que son compadre s’était décidé à s’occuper de la vie privée de son ami plutôt qu’à jouer à saute-secrétaire mais en plus la fille en question était carrément en retard. Autant il était d’accord pour qu’elle arrive en retard (elles le faisaient toutes, histoire de pas paraître trop pressée/angoissée/heureuse –rayez l’intrus- vis-à-vis de leur « date »), autant là c’était l’hôpital qui se foutait de la charité… Il songeait à rentrer chez lui et raconter des salades grecques à son associé le lendemain au travail lorsqu’il lui ferait un clin d’œil après lui avoir demandé comment c’était passée sa soirée mais finit par se résigner. Bordel, foi d’O’Maley, elle n’allait pas s’en tirer aussi facilement cette fille !

« Vous êtes en retard. »

Ce souffle au creux de son cou et cette voix si désagréable… Laureline auraient pu les reconnaître entre mille. Elle se figea instinctivement et ses doigts se resserrèrent sur la spatule. Tournant brusquement sur ses talons, elle cligna un instant des yeux, surprise de n’y trouver personne et puis elle brandit soudainement son ustensile, furibonde en voyant les portes menant à la salle encore claquer dans le vent.

« GABRIEEEEEEEEEEEEL ! »

Le dit Gabriel s’esclaffait bruyamment à l’abri des regards indiscrets en entendant l’écho du rugissement de la jeune femme. Ah cette fille alors… Elle l’amuserait toujours après six mois de guerre acharnée jusqu’à ce que mort s’en suive, le double KO étant également une issue possible en faveur d’une trêve. Soudainement la porte d’entrée tinta et il releva le regard, apercevant de loin un jeune homme ma foi fort bien vêtu pour visiter le Midtown de NYC. Curieux, le blondinet ne put s’empêcher de s’en approcher avec un air des plus sérieux.

« Désolé m’sieur, on est fermés… »

Le jeune homme le dévisagea sans comprendre, entrouvrit les lèvres, visiblement pas très à l’aise, observant à la va vite le restaurant. Bref ses yeux noirs évitaient délibérément son interlocuteur et Gab’ aimait pas ça du tout et comptait bien le lui faire comprendre mais avant même qu’il put en placer une, le richard retrouva brusquement la voix et une part non négligeable de son QI.

« Je cherche quelqu’un. Miss Chambard. »

Surpris, Gabriel ne s’interposa pas, bien au contraire, de plus en plus curieux et voulant connaitre le fin mot de l’affaire, il regarda par-dessus son épaule, racla sa gorge avant de brailler :

« HEY LAURE. Y’A TA PUTE QUI EST LA ! »

Une forte quinte de toux secoua la dite « pute » qui songea très sérieusement à décorer de rouge toute la salle comme en témoignait la pression du regard que subissait dorénavant le serveur. La porte de la cuisine laissa entrevoir Laureline qui s’avançait déjà, intéressée. Elle détailla scrupuleusement le jeune homme qui la demandait avant de se tourner vers son ami.

« Qui c’est ? »
« J’sais pas. »
« T’as pas pensé à lui demander ? »
« Bah non. »
« Boudiouuuu mais tu sers à rien toi ! Non seulement tu te trompes de commande, tu me prends des chaises alors que ça à rien à avoir avec des tabourets mais en plus tu me déranges pour trois fois rien ? »
« Euh… » tenta maladroitement le jeune homme.
« Mais tu M’EMMERDES avec cette histoire ! Ça fait six mois. SIX MOIS ! »
« Bizarre, j’ai comme l’impression que c’était hier. »
« La vieillesse qui te reprend. »
« Excusez moi mais… »
« Si seulement elle pouvait t’emporter avant moi. »
« Rêves pas trop non plus. »
« Parce que tu crois que tu serais dans mes rêves ? Du moment que t’es présent, on appelle ça un cauchemar chéri. »
« Tu crois peut-être que ça me ferait plaisir d’figurer dans tes rêves ? Pouah. Plutôt crever… »

Devant un jeune homme plus qu’excédé, les deux jeunes gens se fusillèrent du regard.

« MAIS VOUS ALLEZ M’ECOUTER A LA FIN ? »

Et dans un bel ensemble, Gabriel et Laureline se tournèrent vers lui, furieux.

« QUOI ENCORE ? »

Décidant d’ignorer le type, il réessaya en croisant le regard de la jeune femme.

« Vous êtes Laureline Chambard ? »

Suspicieuse, la jeune femme le scruta un instant avant de croiser les bras sur sa poitrine.

« Ça dépend. Vous êtes ? »
« Siôn O’Maley et vous ? »
«Pas intéressée. »

Sans plus d’égards, Laureline se retourna et allait gagner de nouveau sa cuisine, sous l’air triomphant de Gabriel qui n’aimait pas trop ce Siôn parce que son nom lui faisait trop penser aux aristochats ou à un quelconque joueur de cornemuse, lorsque le dit écossais s’exclama brusquement :

« Je suis riche ! »

La jeune femme s’arrêta et sourit. Revenant sur ses pas, elle se posta devant Siôn, la spatule toujours entre ses mains.

« Ah bah ça change tout ça… »

Et puis elle brandit la spatule qui était restée entre ses doigts et frappa violemment le chirurgien.

« CRETIN ! IMBECILE ! SUPPOT DE SATAN ! ESPECE DE… espèce de… ESPECE DE CORNEMUSE MAL SIFFONEE ! »

Et durant ces quelques instants, un Gabriel songeur assistait à la scène.

« Tiens, c’est bizarre… J’ai comme une impression de déjà vu. »
_______________________ *

Evidemment tout ceci n'était que l'ébauche du conte. Passons donc rapidement les années suivantes puisqu'elles sont peu intéressantes. Siôn convaincu de son délire... pardon amour, mena une course effrénée pour conquérir le cœur de son beau chevalier à spatule : Laureline. L'écossais fut tant à autres freiné par le magicien Gabriel et résista courageusement aux vifs assauts du dragon Marianne qui s'enflamma dès qu'elle entendit son nom. Eh oui car le jeune homme commençait à se faire connaître petit à petit mais la carrière des deux tourtereaux névrosés ne s'enflamma que lorsqu'ils se dirent "oui" pour la vie (ou la mort... au choix). Journée étrange que fut celle de leur mariage mais elle serait beaucoup trop longue à raconter. Ainsi seules quelques anecdotes figureront ici. Un grand merci aux jeunes mariés pour leur fraîcheur, à Gabriel pour avoir arrosé les plantes et à Marianne pour avoir fait ses courses. Juan quant à lui... a eu le malheur de tomber sur la femme qui reçut le bouquet. Brr. Le pauvre Minotaure...

[Laureline/Siôn]
« SIÔN ! Tu dois pas me voir avant le mariage, ça porte malheur ! »
« EH ! Si j’suis sous ta robe, ça peut pas porter malheur si ? »

[Gabriel]
« J’adore les enfants… C’est charmant, c’est mignon, c’est intéressant, ça donne un certain goût à la vie, vous savez… EH TOI LA! Si tu crois que je t’ai pas vu sous la nappe de cette table en train de reluquer les culottes des demoiselles d’honneur ! … Ah ces enfants, oui l’éducation est quelque fois un problème… Désolé vous m’excusez il faut que j’aille m’en occuper pour qu’il ne fasse plus de bêtises. ... Eh petit ! Dis-moi ton prix. »
«Vingt dollars »
« VINGT ? Arnaqueur ! Escroc ! Bon d’accord. ... Culotte ou string ? »

[Marianne]
« Je ne cherche pas le prince charmant. Juste quelqu’un qui m’attire physiquement parlant, qui serait sexuellement compatible avec moi, qui pourrait parler avec moi pendant des heures, qui serait fidèle, beau, drôle, intelligent, riche, qui aime mes amis, ma famille mais surtout ma mère, qui soit gentil, ponctuel, qui aime les animaux, les enfants, qui soit romantique, qui me surprenne de temps en temps, qui vienne se coller contre moi la nuit même s’il a froid aux pieds… Tu vois, je ne demande pas la lune tu sais, juste au fond… peut-être quelqu’un à aimer. »
« … »
« Oh. Tu ne parles pas un mot d’américain ? PAR-FAIT ! »

[Juan]
« Oh Juanito, c’est le deuxième plus beau jour de ma vie ! »
« Juan. Et pourquoi le deuxième ? »
« Ahah mon chou, le premier ça sera notre mariage. »
« … Je savais qu’il y avait quelque chose de louche quand il m’a invité. »
« Tu disais quelque chose mon Juanito d’amûr ? »
« Moi non rien… »

________________________ *

Un an et demi plus tard, Adam O’Maley, seul et unique fils de Siôn et Laureline O’Maley écopa de Gabriel et Marianne comme parrain et marraine. Sincèrement, il aurait pu rentrer mieux entourés dans la vie mais bon… Tant pis. Le monde du travail avait commencé à les changer, Siôn était devenu plus irascible, plus absent, trop occupé à jouer à saute-secrétaire avec la nouvelle et avait détourné les soupçons en faisant un enfant à sa femme. Laureline elle, n’avait jamais été dupe sur les aventures extra conjugales de son époux, fermant les yeux douloureusement sur les maitresses qui s’enchainèrent. De manière très étrange, Gabriel et Marianne vivaient en couple et étaient parvenus à ne pas se tromper mutuellement depuis deux mois, énorme sacrifice de la part des deux oiseaux. Juan, lui, il avait disparu très vite, direction l’Espagne pour éviter la folle furieuse qui voulait l’épouser et en revenait seulement lorsque le petit O’Maley naquit.

JE TE SOUHAITE LE WELCOMING
&
BONNE CONTINUATION

TU AS JUSQU'A DIMANCHE MINUIT POUR TERMINER TA FICHE

MERCI XOXO

[Merci^^]

Jeune garçon sage, il montra très tôt une différence comportementale, regardant avec un intérêt curieux les autres enfants qui s’amusaient à la guerre. Peu intéressé par leurs jeux barbares, l’enfant eut pourtant quelques difficultés et rentra souvent en pleurs, des hématomes significatifs sur le corps. Une indicible horreur envahit le cœur maternel en s’en apercevant mais elle tint sa langue, conscient qu’il voulait régler ça seul. Cela dura longtemps, longtemps jusqu’à ce que ses agresseurs se lassent de frapper un punching ball définitivement pas drôle puisqu’il ne réagissait pas. Déçu par les autres enfants de son âge, Adam trouva un palliatif en commençant la guitare à sept ans et voilà bien dix ans qu’il en joue maintenant. D’un tempérament agréable, le jeune garçon passe avec négligence ses années d’études puis les années s’écoulèrent et l’enfant devenu jeune homme découvrit les choses de la vie, le rock, le sexe, la drogue. Un cheminement naturel à ses yeux, lui qui se sentait l’héritier du mouvement hippie, sentant sa marginalité venait d’enfin trouver une graine d’espoir et puis les autres marginaux devinrent sa seconde famille, sachant la sienne trop occupée à maintenir le nom O’Maley dans la mémoire des gens… Soucieux de l’envoyer au grand air, Adam connut l’Europe et ses vieux chemins et tomba follement amoureux de ce continent si vieux. Plus tard, il foulerait ces magnifiques paysages à pied, foi d’O’Maley !

2. Détails psychologiques : Le principal détail qui détache sciemment Adam de ces condisciples est qu’il ne porte jamais de montre, ne prêtant que rarement attention à l’heure puisque à ses yeux, être conscient de l’heure l’enfermerait un peu plus comme les types déjà rentrés dans le moule de la société car il sait bien que s’il devenait dépendant d’un truc aussi stupide, il ne pourrait s’empêcher de vouloir se rassurer en vérifiant tout le temps l’heure, stressé de manquer une occasion, quelque chose, quelqu’un. Hybride assez spécifique donc… Mais sa différence ne s’arrête pas là. Jeune homme très calme, il ne s’énerve pratiquement jamais et n’élève pas la voix pour opprimer un interlocuteur pour lui faire entendre raison. Fervent défenseur des causes pacifistes, Adam ne lèvera jamais consciemment la main sur un être humain sauf quelques exceptions comme durant la maltraitance d’un animal puisqu’il exècre la douleur que les hommes infligent aux pauvres animaux car pour lui, en son âme et conscience, le pire des animaux, c’est l’homme. Néanmoins, le jeune homme n’est pas un être torturé, bien qu’il trouve un apaisement volontaire et une ouverture d’esprit en se droguant, puisqu’il fait plutôt office de joyeux luron, câlinant tout le monde, même s’il sait qu’il va se faire rejeter. Il apparait tour à tour comme un jeune enfant et soudainement comme l’adulte qu’il devient. Complexe, jamais totalement cernable, Adam se plait à ne ressembler à personne. Amusé par l’effet qu’il dénote sur les femmes et quelques fois les hommes, le jeune homme ne trouve son aboutissement que dans l’amour des autres… C’est peut-être pour ça qu’il se montre toujours serviable, presque naïf de temps à autres comme s’il ne comprenait pas réellement les refus qu’il reçoit. D’une gentillesse inégalable, il n’a pourtant que des connaissances, ne trouvant pas vraiment ce qu’il nommerait comme une âme sœur, ou frère. Pourtant il ne cherche pas tellement le grand amour, non, il est en quête d’un être qui saurait le comprendre rien qu’en un regard. Une relation fusionnelle, voilà ce dont il ressent le besoin et peut-être lâchera-t-il la drogue… Ou pas.
3. Détails physiques : Adam est un paradoxe à lui seul. Bien qu’ayant l’argent des beaux garçons New Yorkais, il est loin de leur bouille d’ange, ayant la gueule du mauvais garçon typique. Mais ses traits droits, durs, presque ciselés au couteau attirent les jeunes femmes en manque de sensation forte, pensant qu’il est loin du droit chemin. Pas faux puisqu’il en emprunte un parallèle mais pas tout à fait exact comme le trahissent ses yeux chocolats empreints d’une douceur qui ne peut être feinte. Changeant au gré de ses humeurs, la couleur de ses prunelles n’alterne pourtant qu’entre deux couleurs et leur variante : le marron et le vert, oscillant entre ses deux extrêmes. Il est plutôt grand, bien bâti pour ses dix-sept ans et bien qu’il ait le physique d’un jeune sportif, n’en pratique pas, bien qu’on lui ait proposé d’être quaterback à maintes reprises au cours de sa scolarité. Il a beau paraître menaçant de loin et ça lui évite souvent des désagréments, il n’en est rien et tout dans son allure le dément, que ça soit le fin sourire qui couvre ses lèvres à peine rosée, à son comportement d’enfant. Ne faisant pas très attention à son apparence physique, le jeune homme reste simple dans ses choix vestimentaires, avec une préférence pour les tee-shirts moulants et les jeans. Le matin, il ne prend pas grand cas de ses courts cheveux bruns qu’il se contente d’ébouriffer à la va-vite et se coupe très souvent en se rasant. On ne peut pas être parfait partout…

4. Signes particulier : Adam consomme souvent de la drogue et commence seulement à montrer les signes d'une addiction, néanmoins la vérité sera pour lui dure à avaler... Seulement lorsqu'il est vraiment durement défoncé, il a tendance à vouloir déshabiller tout le monde, même les hommes.

III. Questionnaire

1. Que trainez-vous toujours dans votre sac/dans vos poches? : Les poches d'Adam sont un vrai fourre-tout dans lequel on peut trouver de manière plutôt récurrente : les clés de son appart', un briquet, un paquet de cigarettes ne contenant pas toujours que des cigarettes, son portefeuille et son téléphone portable quand il ne l'oublie pas chez lui.
2. Votre type d'homme/de femme? : Il y a trois ans, il s'est décidé pour la zoophile, spécialité marsupiaux. Sinon bien qu'il ait une préférence pour les jolies jeunes femmes, sans discrimination, il les aime toutes pourvu qu'elles aient de l'esprit et de la jugeote, après si elle est décalée et un peu marginale voire totalement délurée alors là, il pensera sûrement à l'épouser de suite à Woodstock par une nuit de pleine lune. Bien qu'il ne se soit jamais envisagé autrement qu'hétérosexuel, il ne dirait peut-être pas non à une relation avec un homme, il est très ouvert d'esprit et de cuisses le petit...
3. En un seul mot, lequel vous résumerait le mieux? : Adam'n'roll-babey ^^
4. Comment décrivez-vous les gens de l'Upper? : Pathétiquement trashs mais il les aime bien quand même hein mais de loin c'est bien aussi.
5. Vous êtes plus du type Barney's ou bien friperie? : Friperie. Son compte en banque le fournissait mensuellement à Barney's jusqu'à ce qu'il décide de tout bazarder pour des dons et même si sa famille s'acharne à vouloir lui faire porter des vêtements de luxe, le faisant céder, il lui arrive de trainer dans des endroits "sordides" rien que pour le plaisir de voir la tête des autres Upper Guys&Girls parce que Oh-mon-Dieu-Adam-O'Maley-a-osé-mettre-cette-horreur. Le mot horreur selon les jeunes de l'Upper East Side signifiant un vêtement qui n'est pas signé Barney's et qui coûte moins de 1000$, ahlala trop la honte quoi...
6. Pouvez-vous survivre sans votre portable? : Oui parfaitement et d'ailleurs c'est ce qu'il compte faire sous peu.
7. L'objet qui vous est INDISPENSABLE? : Sa moto donc les clés qui vont avec. Les clopes aussi. Après tout le reste, c'est secondaire...
8. Les boulots de vos parents sont-ils bien payés? : Malheureusement oui, ils sont plus que biens payés. Sa mère est un grand chef cuisinier ayant ouvert il y a quelques années un restaurant français puis un autre asiatique, très vite huppés. Son père quant à lui s'était lancé dans la chirurgie esthétique dans sa folle jeunesse regroupa très vite quantité d'adeptes du "remodelage".
9. Votre plus grand rêve est-il d'entrer dans une université telle que Yale / Harvard / Princeton, etc? : Adam eut ce rêve là jusqu'à ses cinq ans, quand il comprit exactement de quoi il retournait et par pur esprit de contradiction cessa aussitôt de parler de cette chose étrange qu'était Princeton. Et puis en grandissant, en s'affirmant et en se dégoûtant du monde dans lequel il vivait, le jeune homme rêva de grands espaces verdoyants, d'aventure. C'était décidé, il traverserait l'Europe avec pour seul bagage son cœur en écharpe et un sac à dos. Cette année sabbatique écoulée, il se verrait bien dans l'humanitaire, enfin pourquoi pas.
10. Combien possédez-vous de carte de crédits? : Ayant découpés les autres en petits morceaux, il n'en a gardé que deux. Pas qu'elles lui soient vitales mais bon, tout le monde sait que New York c'est la terrible jungle, même que le lion est mort ce soir.

IV. Goûts

1. Ce que vous aimez : Adam aime le premier verre de lait ou la première tasse de café, la première cigarette du matin, les premiers rayons de soleil, les premiers bourgeons, les premières fois mais pas la sienne... Outre la caféine et la nicotine, il carbure à l'adrénaline du moment qu'elle ne met pas la vie des autres en danger mais l'abandonnera sans regret lorsqu'il aura son diplôme en poche, même s'il devait vivre avec un euro par jour. La musique est son pêché mignon et la gourmandise son plus grand vice... Il adore également les trucs qui se ringardisent comme le camping entre amis et les veillés au feu de camp marshmallows/guitare mais aussi dormir sur la plage ou sur le toit d'un immeuble et se balader à moitié à poil dans son appartement -voire totalement pour le plus grand bonheur de ses voisines qui peuvent l'observer à travers la baie vitrée du salon, pas de sa faute tout de même s’il n’est pas du genre pudique, si ?
2. Ce que vous détestez : Mister O'Maley déteste toute forme d'autorité, c'est pour ça qu'il dort en cours ou se contente de griffonner en marge de ses feuilles, à moitié affalé sur sa chaise, à moins que le cour en question ne l'intéresse. Bien qu'étant le résultat de deux êtres ayant profités de la mondialisation capitaliste, le jeune homme déteste tout de cette vie de gosse de riche mais ne peut pas cracher sur le gagne pain de ses parents, enfin si mais uniquement parce qu'il n'aime pas leurs méthodes. Peut-être à tendance claustrophobe, l'écossais déteste les espaces clos qui l'étouffent presque s'il y demeure trop longtemps. Il est également rare qu'il ne montre pas une grande indifférence, presque empreinte de pitié vis-à-vis des gens superficiellement pauvres de tout intellect et s'en afflige souvent. Ils ne sauront jamais quel effet ça fait de penser par eux-mêmes, c'est follement navrant. Mais s'il y a bien une chose qu'il hait, c'est toutes formes de violence, étant un pacifiste convaincu, ce qui ne veut pas pour autant dire qu'il ne sait pas se servir de ses poings, juste que ça le répugne d'en venir aux mains.
3. Aimez-Vous Gossip Girl? En entendant souvent parler, Adam se contente de hausser les épaules avant d'allumer une énième cigarette. Bah. Ce n’est pas comme s'il en avait quelque chose à faire des rumeurs qu'elle colportait...
4. Couleur Préférée: L'arc en ciel. Hein, c'est pas une couleur ? Et multicolore c'est quoi alors ? Du pipi de chat ? Oo Hum. Disons blanc hein.
5. Livre Préféré: Frankenstein de Mary Shelley est son livre du moment. Avec 1984 de Georges Orwell évidemment...
6. Musique Préférée: Tout ce qui est rock est susceptible de lui plaire. Avec une énorme préférence pour les Rolling Stones.
7. Boisson Préférée: La vodka ananas évidemment mais bon, après quelques verres tout devient buvable... Il est également accro à la caféine et au lactose.
8. Boite Préférée: L'exploit serait de l'y trainer déjà... Cependant il préférera certainement aller voir un concert au Knitting Factory ou ne pas sortir du tout...
9. Magasin Préféré: Aucun. Il est plutôt du genre à fouiner au lieu de se laisser directement acheter par Barneys.
10. Restaurant Préféré: Sa cuisine à lui puisqu'il a suivi quelques cours avec Madame O'Maley. Sinon le Starbuck's Coffee lui convient très bien^^
11.Endroit Préféré: Les endroits préférés d'Adam sont des lieux assez hétéroclites comme l'aéroport mais avec une nette préférence pour la gare, où il aime regarder les gens sur le départ ou sur le qui vive pendant les quelques secondes où leur humanité prend le pas sur la réalité. Les petits théâtres, les cafés intimistes, bref le genre d'endroits où le faste du décor sera loin de le mettre mal à l'aise car il sera inexistant, ce sont donc les lieux qui ont une âme qui lui importent plus que le coût de leur déco.
12.Saison Préférée: N'importe laquelle mais surtout l'hiver parce que comme un gosse, il a toujours aimé jouer dans la neige.
13.Lieu de vacance Préféré: Contrairement à ses condisciples richards, Adam préfère à St Bart' et à la Sun Valley le charme européen, sans pour autant avoir eu l'occasion de l'explorer de long en large, pas encore en tout cas mais bon, il va quelques fois dans les destinations huppées rien que pour le bonheur de ses chers débiteurs de cash et accessoirement géniteurs.
14.Pays Préféré: Dur à choisir. La France pour son Vieux Paris. L'Angleterre pour son charme british tout à fait dévastateur. L'Italie avec Vérone, Venise et ses ruelles étroites en coupe gorge. Il en a tellement...

V. Fiche cachée

1. Prénom : Agent 000 au rapport ->
2. Âge : 17 ans
3. Sexe : ... euh Marsouin ? xD
4. Votre avis sur le forum : Bellissimo xD
5. Code :
Spoiler:
6. Star sur l'avatar : Josh Hartnett

Jadore ta présentation ^^

Bienvenue sur le forum !!!

VALIDE

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